Éloge des oiseaux

16,00 €

Giacomo Leopardi, traduction et commentaires par Pierre Présumey. Avec des gouaches de Josiane Poquet et une traduction de Pierre Présumey.

 Au cours de l’hiver 2014, la sensibilité de Josiane Poquet, peintre, fut sollicitée à la fois par la relecture du court texte de Leopardi et par les frêles volatiles qui venaient chaque jour lui rendre visite dans l’encadrement de la fenêtre de son appartement de Planzolles en Ardèche.

Elle en tira une œuvre constituée de six gouaches restituées ici.

Conformément à sa pratique, elle abstrait de ce qu’elle voit ce qui ajoute à sa peinture. Pour les uns, le fait de ne pas être absorbé par le réel fait chanter la gouache, pour les autres c’est la poésie qui s’impose. Les gouaches de Josiane sont à la fois le vecteur de transmission des émotions qu’elle éprouve, le déclencheur de celles éprouvées par ceux qui les regardent et la représentation même de ces émotions.

Pierre Présumey, auteur, poète nous offre une talentueuse traduction de l’italien et des commentaires qui font un pont entre ce qu’a exprimé la peintre et ce qu’a écrit Leopardi.

Les pierres de ce pont sont la culture, l’érudition, le don pour l’écriture et son ciment est la complicité avec Josiane fondée sur une ancienne et forte amitié.    

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Giacomo Leopardi, traduction et commentaires par Pierre Présumey. Avec des gouaches de Josiane Poquet et une traduction de Pierre Présumey.

 Au cours de l’hiver 2014, la sensibilité de Josiane Poquet, peintre, fut sollicitée à la fois par la relecture du court texte de Leopardi et par les frêles volatiles qui venaient chaque jour lui rendre visite dans l’encadrement de la fenêtre de son appartement de Planzolles en Ardèche.

Elle en tira une œuvre constituée de six gouaches restituées ici.

Conformément à sa pratique, elle abstrait de ce qu’elle voit ce qui ajoute à sa peinture. Pour les uns, le fait de ne pas être absorbé par le réel fait chanter la gouache, pour les autres c’est la poésie qui s’impose. Les gouaches de Josiane sont à la fois le vecteur de transmission des émotions qu’elle éprouve, le déclencheur de celles éprouvées par ceux qui les regardent et la représentation même de ces émotions.

Pierre Présumey, auteur, poète nous offre une talentueuse traduction de l’italien et des commentaires qui font un pont entre ce qu’a exprimé la peintre et ce qu’a écrit Leopardi.

Les pierres de ce pont sont la culture, l’érudition, le don pour l’écriture et son ciment est la complicité avec Josiane fondée sur une ancienne et forte amitié.    

Giacomo Leopardi, traduction et commentaires par Pierre Présumey. Avec des gouaches de Josiane Poquet et une traduction de Pierre Présumey.

 Au cours de l’hiver 2014, la sensibilité de Josiane Poquet, peintre, fut sollicitée à la fois par la relecture du court texte de Leopardi et par les frêles volatiles qui venaient chaque jour lui rendre visite dans l’encadrement de la fenêtre de son appartement de Planzolles en Ardèche.

Elle en tira une œuvre constituée de six gouaches restituées ici.

Conformément à sa pratique, elle abstrait de ce qu’elle voit ce qui ajoute à sa peinture. Pour les uns, le fait de ne pas être absorbé par le réel fait chanter la gouache, pour les autres c’est la poésie qui s’impose. Les gouaches de Josiane sont à la fois le vecteur de transmission des émotions qu’elle éprouve, le déclencheur de celles éprouvées par ceux qui les regardent et la représentation même de ces émotions.

Pierre Présumey, auteur, poète nous offre une talentueuse traduction de l’italien et des commentaires qui font un pont entre ce qu’a exprimé la peintre et ce qu’a écrit Leopardi.

Les pierres de ce pont sont la culture, l’érudition, le don pour l’écriture et son ciment est la complicité avec Josiane fondée sur une ancienne et forte amitié.