Fresque de l'Après

26,00 €

Fresque de l'Après de François Grégoire

Claudine Belmas-Grégoire est née en Ardèche à la sortie de la guerre. Si elle n’y réside plus de manière permanente, elle se ressource plusieurs fois par an dans la maison du Cheylard qui la rattache à ses racines familiales. C’est à Valence, à l’école des Beaux-Arts, qu’elle s’est donnée les moyens d’accéder à une carrière dédiée aux Arts-Plastiques et plus spécialement à la peinture. Elle le fit sous des formes diverses. La promotion, en créant la première galerie d’Art de la ville. L’éducation, en créant un cours dédié à la préparation des étudiants aux concours. Mais surtout, elle s’est consacrée dès sa jeunesse à la production d’une œuvre expressionniste aussi volumineuse que magistrale. Parmi le millier de pièces, à coté de celles qui ont rejoint les murs de ses acquéreurs, quelques-unes sont répertoriées au Musée de Valence.

Pour répondre à l’invitation qui lui fut faite à l’automne 2019 d’exposer à la Salle de la Tribune par « Les Amis d’Ailhon », elle a réalisé une série de vingt toiles au format identique qui seront installées à la suite comme une fresque : la « Fresque de l’Après ». De manière très prémonitoire, chacune d’entre elles et elles toutes ensemble nous invitent à prendre conscience de ce qui est à la source des émotions qu’elles procurent.

Dans le contexte de la pandémie qui touche le monde, cette œuvre est une contribution aux remises en cause sans lesquelles l’Après se résumerait à une fin. La beauté et la pertinence de cette production a conduit la Galerie Mercurart à éditer un livre, véritable catalogue de l’exposition, agrémenté de poèmes de François Grégoire.  

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Fresque de l'Après de François Grégoire

Claudine Belmas-Grégoire est née en Ardèche à la sortie de la guerre. Si elle n’y réside plus de manière permanente, elle se ressource plusieurs fois par an dans la maison du Cheylard qui la rattache à ses racines familiales. C’est à Valence, à l’école des Beaux-Arts, qu’elle s’est donnée les moyens d’accéder à une carrière dédiée aux Arts-Plastiques et plus spécialement à la peinture. Elle le fit sous des formes diverses. La promotion, en créant la première galerie d’Art de la ville. L’éducation, en créant un cours dédié à la préparation des étudiants aux concours. Mais surtout, elle s’est consacrée dès sa jeunesse à la production d’une œuvre expressionniste aussi volumineuse que magistrale. Parmi le millier de pièces, à coté de celles qui ont rejoint les murs de ses acquéreurs, quelques-unes sont répertoriées au Musée de Valence.

Pour répondre à l’invitation qui lui fut faite à l’automne 2019 d’exposer à la Salle de la Tribune par « Les Amis d’Ailhon », elle a réalisé une série de vingt toiles au format identique qui seront installées à la suite comme une fresque : la « Fresque de l’Après ». De manière très prémonitoire, chacune d’entre elles et elles toutes ensemble nous invitent à prendre conscience de ce qui est à la source des émotions qu’elles procurent.

Dans le contexte de la pandémie qui touche le monde, cette œuvre est une contribution aux remises en cause sans lesquelles l’Après se résumerait à une fin. La beauté et la pertinence de cette production a conduit la Galerie Mercurart à éditer un livre, véritable catalogue de l’exposition, agrémenté de poèmes de François Grégoire.  

Fresque de l'Après de François Grégoire

Claudine Belmas-Grégoire est née en Ardèche à la sortie de la guerre. Si elle n’y réside plus de manière permanente, elle se ressource plusieurs fois par an dans la maison du Cheylard qui la rattache à ses racines familiales. C’est à Valence, à l’école des Beaux-Arts, qu’elle s’est donnée les moyens d’accéder à une carrière dédiée aux Arts-Plastiques et plus spécialement à la peinture. Elle le fit sous des formes diverses. La promotion, en créant la première galerie d’Art de la ville. L’éducation, en créant un cours dédié à la préparation des étudiants aux concours. Mais surtout, elle s’est consacrée dès sa jeunesse à la production d’une œuvre expressionniste aussi volumineuse que magistrale. Parmi le millier de pièces, à coté de celles qui ont rejoint les murs de ses acquéreurs, quelques-unes sont répertoriées au Musée de Valence.

Pour répondre à l’invitation qui lui fut faite à l’automne 2019 d’exposer à la Salle de la Tribune par « Les Amis d’Ailhon », elle a réalisé une série de vingt toiles au format identique qui seront installées à la suite comme une fresque : la « Fresque de l’Après ». De manière très prémonitoire, chacune d’entre elles et elles toutes ensemble nous invitent à prendre conscience de ce qui est à la source des émotions qu’elles procurent.

Dans le contexte de la pandémie qui touche le monde, cette œuvre est une contribution aux remises en cause sans lesquelles l’Après se résumerait à une fin. La beauté et la pertinence de cette production a conduit la Galerie Mercurart à éditer un livre, véritable catalogue de l’exposition, agrémenté de poèmes de François Grégoire.