D'homme à Homme
Essai sur le progrès de Jean-Claude Millet
Ce texte est celui d’un ingénieur. Il applique dans ce livre les mêmes méthodes d’assemblage à des concepts ou des théories que celles qu’il a utilisées pour créer des innovations à partir de technologies qui ont conduit plusieurs de ses entreprises à un succès international incontestable. En quête permanente de sens, l’esprit toujours en éveil, il s’efforce de ne pas être absorbé par le vertige de l’action. Dans d’homme à Homme, Jean-Claude MILLET construit une proposition de convention sur le progrès de l’homme en s’appuyant sur ce qu’il retient comme des invariants de l’espèce.
L’homme est un être tridimensionnel. Son identité est inscrite dans ses gènes et ses neurones (le Bihan) indépendamment de la diversité de ses formes. Son passé, son présent et son futur, soumis aux aléas de la roulette génétique et des conséquences de son libre arbitre (le Guyader), s’élaborent à l’aune de l’auto production (Varela,) et de l’autoréférence (Spinoza, Atlan).
Ses aspirations sont catégorisées dans un parallèle entre cette tridimensionnalité et l’enseignement de Maslow. Dans une approche due à Mauss, les échanges auxquels l’homme se livre se décrivent en fonction du degré de liberté et du degré de gratuité mis en jeu.
Le « progrès » se jauge à l’augmentation de la gratuité et de la liberté constatée dans ces transactions. Elles concernent ce qui se passe avec des tiers comme ce qui se passe avec lui-même dans son for intérieur.
Cette proposition est éminemment pratique et débouche sur des attitudes personnelles, mais aussi sur des initiatives collectives. Il ouvre ainsi des espaces d’expression nouveaux et préfigure l’explosion de bulles économiques à la mesure de la mutation espérée de homo sapiens ; celui qui sait… que sa destinée est homo diligens : l’aimant, l’attentionné, l’altruiste par lequel il naitra à lui-même, découvrant Dieu.
Essai sur le progrès de Jean-Claude Millet
Ce texte est celui d’un ingénieur. Il applique dans ce livre les mêmes méthodes d’assemblage à des concepts ou des théories que celles qu’il a utilisées pour créer des innovations à partir de technologies qui ont conduit plusieurs de ses entreprises à un succès international incontestable. En quête permanente de sens, l’esprit toujours en éveil, il s’efforce de ne pas être absorbé par le vertige de l’action. Dans d’homme à Homme, Jean-Claude MILLET construit une proposition de convention sur le progrès de l’homme en s’appuyant sur ce qu’il retient comme des invariants de l’espèce.
L’homme est un être tridimensionnel. Son identité est inscrite dans ses gènes et ses neurones (le Bihan) indépendamment de la diversité de ses formes. Son passé, son présent et son futur, soumis aux aléas de la roulette génétique et des conséquences de son libre arbitre (le Guyader), s’élaborent à l’aune de l’auto production (Varela,) et de l’autoréférence (Spinoza, Atlan).
Ses aspirations sont catégorisées dans un parallèle entre cette tridimensionnalité et l’enseignement de Maslow. Dans une approche due à Mauss, les échanges auxquels l’homme se livre se décrivent en fonction du degré de liberté et du degré de gratuité mis en jeu.
Le « progrès » se jauge à l’augmentation de la gratuité et de la liberté constatée dans ces transactions. Elles concernent ce qui se passe avec des tiers comme ce qui se passe avec lui-même dans son for intérieur.
Cette proposition est éminemment pratique et débouche sur des attitudes personnelles, mais aussi sur des initiatives collectives. Il ouvre ainsi des espaces d’expression nouveaux et préfigure l’explosion de bulles économiques à la mesure de la mutation espérée de homo sapiens ; celui qui sait… que sa destinée est homo diligens : l’aimant, l’attentionné, l’altruiste par lequel il naitra à lui-même, découvrant Dieu.
Essai sur le progrès de Jean-Claude Millet
Ce texte est celui d’un ingénieur. Il applique dans ce livre les mêmes méthodes d’assemblage à des concepts ou des théories que celles qu’il a utilisées pour créer des innovations à partir de technologies qui ont conduit plusieurs de ses entreprises à un succès international incontestable. En quête permanente de sens, l’esprit toujours en éveil, il s’efforce de ne pas être absorbé par le vertige de l’action. Dans d’homme à Homme, Jean-Claude MILLET construit une proposition de convention sur le progrès de l’homme en s’appuyant sur ce qu’il retient comme des invariants de l’espèce.
L’homme est un être tridimensionnel. Son identité est inscrite dans ses gènes et ses neurones (le Bihan) indépendamment de la diversité de ses formes. Son passé, son présent et son futur, soumis aux aléas de la roulette génétique et des conséquences de son libre arbitre (le Guyader), s’élaborent à l’aune de l’auto production (Varela,) et de l’autoréférence (Spinoza, Atlan).
Ses aspirations sont catégorisées dans un parallèle entre cette tridimensionnalité et l’enseignement de Maslow. Dans une approche due à Mauss, les échanges auxquels l’homme se livre se décrivent en fonction du degré de liberté et du degré de gratuité mis en jeu.
Le « progrès » se jauge à l’augmentation de la gratuité et de la liberté constatée dans ces transactions. Elles concernent ce qui se passe avec des tiers comme ce qui se passe avec lui-même dans son for intérieur.
Cette proposition est éminemment pratique et débouche sur des attitudes personnelles, mais aussi sur des initiatives collectives. Il ouvre ainsi des espaces d’expression nouveaux et préfigure l’explosion de bulles économiques à la mesure de la mutation espérée de homo sapiens ; celui qui sait… que sa destinée est homo diligens : l’aimant, l’attentionné, l’altruiste par lequel il naitra à lui-même, découvrant Dieu.