La parabole du bombyx mori

18,00 €

Une manière d'appréhender la domestication de l'homme de Jean-Claude Millet.

Les paysages de l’Ardèche ont été profondément marqués par l’expansion de la sériciculture au 19 ème siècle. « L’éducation » des vers à soie a laissé bien d’autres traces mémorielles immatérielles. Dans ce livre, je décris le destin particulier du bombyx mori qui a perdu l’essentiel de ses attributs de papillon (couleur, capacité à voler, bouche, sphincter anal) du fait de sa domestication. Par comparaison, j’attribue la pandémie d’obésité et ses pathologies chroniques associées qui frappe environ 30% des populations des pays industrialisés, à des causes environnementales de même nature que la domestication.

Je mets en cause le processus continu de déculturation qui transforme les hommes d’une part en simples consommateurs et d’autre part en « éducateurs » de ces consommateurs. Cette posture comporte deux rôles distincts : celui d’entrepreneur cynique gérant ses employés comme de simples rouages d’une organisation productrice de « dollars » et celui de politique cherchant les conditions pour que cela se perpétue.

Ce livre appelle à la conscience que l’homme est plus qu’un papillon, domesticable par le gras, le sucré et le salé, consommés sur des plateaux télé permettant l’assimilation simultanée de la Junk Food culturelle et publicitaire par laquelle les esprits sont conditionnés, le tout sécurisé par la prise massive d’anxiolytiques et de dérivatifs sportifs anesthésiants. Ce livre appelle à la conscience du fait que dominants et dominés s’auto spécifient, pris, ensemble, dans un jeu délétère qui sape les ressources de l’écosystème, en quantité et en diversité. Il prononce le caractère dépassé pour l'Église d’une « option préférentielle pour les pauvres » si une « option préférentielle pour les riches », dans une perspective de « conscientisation » croisée n’est pas également privilégiée. Il appelle à une révolution culturelle, par une véritable éducation laïque, libérée des attributs ostensibles du dieu Mammon, permettant à chacun de passer de sa destinée actuelle à celle de créateur d’altérité dans des actes à portée éternelle.

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Une manière d'appréhender la domestication de l'homme de Jean-Claude Millet.

Les paysages de l’Ardèche ont été profondément marqués par l’expansion de la sériciculture au 19 ème siècle. « L’éducation » des vers à soie a laissé bien d’autres traces mémorielles immatérielles. Dans ce livre, je décris le destin particulier du bombyx mori qui a perdu l’essentiel de ses attributs de papillon (couleur, capacité à voler, bouche, sphincter anal) du fait de sa domestication. Par comparaison, j’attribue la pandémie d’obésité et ses pathologies chroniques associées qui frappe environ 30% des populations des pays industrialisés, à des causes environnementales de même nature que la domestication.

Je mets en cause le processus continu de déculturation qui transforme les hommes d’une part en simples consommateurs et d’autre part en « éducateurs » de ces consommateurs. Cette posture comporte deux rôles distincts : celui d’entrepreneur cynique gérant ses employés comme de simples rouages d’une organisation productrice de « dollars » et celui de politique cherchant les conditions pour que cela se perpétue.

Ce livre appelle à la conscience que l’homme est plus qu’un papillon, domesticable par le gras, le sucré et le salé, consommés sur des plateaux télé permettant l’assimilation simultanée de la Junk Food culturelle et publicitaire par laquelle les esprits sont conditionnés, le tout sécurisé par la prise massive d’anxiolytiques et de dérivatifs sportifs anesthésiants. Ce livre appelle à la conscience du fait que dominants et dominés s’auto spécifient, pris, ensemble, dans un jeu délétère qui sape les ressources de l’écosystème, en quantité et en diversité. Il prononce le caractère dépassé pour l'Église d’une « option préférentielle pour les pauvres » si une « option préférentielle pour les riches », dans une perspective de « conscientisation » croisée n’est pas également privilégiée. Il appelle à une révolution culturelle, par une véritable éducation laïque, libérée des attributs ostensibles du dieu Mammon, permettant à chacun de passer de sa destinée actuelle à celle de créateur d’altérité dans des actes à portée éternelle.

Une manière d'appréhender la domestication de l'homme de Jean-Claude Millet.

Les paysages de l’Ardèche ont été profondément marqués par l’expansion de la sériciculture au 19 ème siècle. « L’éducation » des vers à soie a laissé bien d’autres traces mémorielles immatérielles. Dans ce livre, je décris le destin particulier du bombyx mori qui a perdu l’essentiel de ses attributs de papillon (couleur, capacité à voler, bouche, sphincter anal) du fait de sa domestication. Par comparaison, j’attribue la pandémie d’obésité et ses pathologies chroniques associées qui frappe environ 30% des populations des pays industrialisés, à des causes environnementales de même nature que la domestication.

Je mets en cause le processus continu de déculturation qui transforme les hommes d’une part en simples consommateurs et d’autre part en « éducateurs » de ces consommateurs. Cette posture comporte deux rôles distincts : celui d’entrepreneur cynique gérant ses employés comme de simples rouages d’une organisation productrice de « dollars » et celui de politique cherchant les conditions pour que cela se perpétue.

Ce livre appelle à la conscience que l’homme est plus qu’un papillon, domesticable par le gras, le sucré et le salé, consommés sur des plateaux télé permettant l’assimilation simultanée de la Junk Food culturelle et publicitaire par laquelle les esprits sont conditionnés, le tout sécurisé par la prise massive d’anxiolytiques et de dérivatifs sportifs anesthésiants. Ce livre appelle à la conscience du fait que dominants et dominés s’auto spécifient, pris, ensemble, dans un jeu délétère qui sape les ressources de l’écosystème, en quantité et en diversité. Il prononce le caractère dépassé pour l'Église d’une « option préférentielle pour les pauvres » si une « option préférentielle pour les riches », dans une perspective de « conscientisation » croisée n’est pas également privilégiée. Il appelle à une révolution culturelle, par une véritable éducation laïque, libérée des attributs ostensibles du dieu Mammon, permettant à chacun de passer de sa destinée actuelle à celle de créateur d’altérité dans des actes à portée éternelle.