Visages des âmes

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C’est en rencontrant les âmes de visages d’amis intellectuels ou artistes que Jacques Cadet a tracé son chemin dans sa vocation artistique.

Denis Vasse, jésuite, lacanien, ami de Françoise Dolto, auquel nous devons un magnifique texte sur les visages, produit pour une exposition de cette autre amie, la peintre Jano Xhenseval.

Jean-Marie Tézé, jésuite, théologien et sculpteur, créateur de masques allant aux abîmes mystiques et psychiques du « prosôpon » grec, c'est-à-dire « ce qui est face aux yeux d’autrui ». Nous y sommes.

André Bouler, jésuite, artiste peintre, élève de Fernand Léger ou encore le peintre japonais Paul Foujino. Jacques Cadet puise son inspiration dans les tragédies du monde contemporain : la Shoah, la guerre d’Algérie, la Palestine ; dans ses lectures et bien sûr celle de la Bible avec une attention particulière à Tobie, Ruth et le gérasénien, le possédé guéri.

Il a, par ailleurs, réalisé un important travail sur la métamorphose, thème implicitement abordé ici par Jean- Claude Millet pour parler de cette partie de l’œuvre de Jacques Cadet montrée à Ailhon à l’occasion de cette exposition d’été.

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C’est en rencontrant les âmes de visages d’amis intellectuels ou artistes que Jacques Cadet a tracé son chemin dans sa vocation artistique.

Denis Vasse, jésuite, lacanien, ami de Françoise Dolto, auquel nous devons un magnifique texte sur les visages, produit pour une exposition de cette autre amie, la peintre Jano Xhenseval.

Jean-Marie Tézé, jésuite, théologien et sculpteur, créateur de masques allant aux abîmes mystiques et psychiques du « prosôpon » grec, c'est-à-dire « ce qui est face aux yeux d’autrui ». Nous y sommes.

André Bouler, jésuite, artiste peintre, élève de Fernand Léger ou encore le peintre japonais Paul Foujino. Jacques Cadet puise son inspiration dans les tragédies du monde contemporain : la Shoah, la guerre d’Algérie, la Palestine ; dans ses lectures et bien sûr celle de la Bible avec une attention particulière à Tobie, Ruth et le gérasénien, le possédé guéri.

Il a, par ailleurs, réalisé un important travail sur la métamorphose, thème implicitement abordé ici par Jean- Claude Millet pour parler de cette partie de l’œuvre de Jacques Cadet montrée à Ailhon à l’occasion de cette exposition d’été.

C’est en rencontrant les âmes de visages d’amis intellectuels ou artistes que Jacques Cadet a tracé son chemin dans sa vocation artistique.

Denis Vasse, jésuite, lacanien, ami de Françoise Dolto, auquel nous devons un magnifique texte sur les visages, produit pour une exposition de cette autre amie, la peintre Jano Xhenseval.

Jean-Marie Tézé, jésuite, théologien et sculpteur, créateur de masques allant aux abîmes mystiques et psychiques du « prosôpon » grec, c'est-à-dire « ce qui est face aux yeux d’autrui ». Nous y sommes.

André Bouler, jésuite, artiste peintre, élève de Fernand Léger ou encore le peintre japonais Paul Foujino. Jacques Cadet puise son inspiration dans les tragédies du monde contemporain : la Shoah, la guerre d’Algérie, la Palestine ; dans ses lectures et bien sûr celle de la Bible avec une attention particulière à Tobie, Ruth et le gérasénien, le possédé guéri.

Il a, par ailleurs, réalisé un important travail sur la métamorphose, thème implicitement abordé ici par Jean- Claude Millet pour parler de cette partie de l’œuvre de Jacques Cadet montrée à Ailhon à l’occasion de cette exposition d’été.