Le Choix de l'Artiste
Texte de Jean-Claude Millet, à propos de l’œuvre de Dalva Duarte
Cet ouvrage est l’histoire d’une rencontre entre Dalva Duarte et Jean-Claude Millet
Dalva Duarte est née en 1949 à Carolina, un village du Nordeste brésilien. Elle a vécu et travaillé en Europe et en Amériques. Ses thèmes principaux d’inspiration sont la colère, la folie, la solitude, l’injustice... la condition humaine. Sa peinture s’appuie sur des bases académiques solides, sur une culture très variée et sur un vécu où la Connaissance a toujours été un enjeu.
Dans Le choix de l’Artiste dont cet ouvrage est l’objet, nous trouvons un dénominateur commun à l’ensemble de son œuvre, des clés pour la découvrir et en même temps nous découvrir.
Jean-Claude Millet est né en 1946 à Marboz, un village de Bresse, en France. Il a toujours dessiné et peint, mais sa carrière s’est construite à partir d’une formation d’ingénieur. Son appétit pour la création s’est exprimé professionnellement dans l’innovation et la création d’entreprises. Pour ces objets complexes, une Esthétique globale (le Beau, le Bon, le Bien) est toujours passée avant la perspective de profits. En s’exprimant sur Le choix de l’Artiste, il rend hommage à la peintre pour sa contribution à sa propre quête : être partie prenante à l’avènement de l’homme en l’Homme.
Ce texte est le contre-don du don que lui a fait Dalva en lui cédant sa grande aquarelle.
Texte de Jean-Claude Millet, à propos de l’œuvre de Dalva Duarte
Cet ouvrage est l’histoire d’une rencontre entre Dalva Duarte et Jean-Claude Millet
Dalva Duarte est née en 1949 à Carolina, un village du Nordeste brésilien. Elle a vécu et travaillé en Europe et en Amériques. Ses thèmes principaux d’inspiration sont la colère, la folie, la solitude, l’injustice... la condition humaine. Sa peinture s’appuie sur des bases académiques solides, sur une culture très variée et sur un vécu où la Connaissance a toujours été un enjeu.
Dans Le choix de l’Artiste dont cet ouvrage est l’objet, nous trouvons un dénominateur commun à l’ensemble de son œuvre, des clés pour la découvrir et en même temps nous découvrir.
Jean-Claude Millet est né en 1946 à Marboz, un village de Bresse, en France. Il a toujours dessiné et peint, mais sa carrière s’est construite à partir d’une formation d’ingénieur. Son appétit pour la création s’est exprimé professionnellement dans l’innovation et la création d’entreprises. Pour ces objets complexes, une Esthétique globale (le Beau, le Bon, le Bien) est toujours passée avant la perspective de profits. En s’exprimant sur Le choix de l’Artiste, il rend hommage à la peintre pour sa contribution à sa propre quête : être partie prenante à l’avènement de l’homme en l’Homme.
Ce texte est le contre-don du don que lui a fait Dalva en lui cédant sa grande aquarelle.
Texte de Jean-Claude Millet, à propos de l’œuvre de Dalva Duarte
Cet ouvrage est l’histoire d’une rencontre entre Dalva Duarte et Jean-Claude Millet
Dalva Duarte est née en 1949 à Carolina, un village du Nordeste brésilien. Elle a vécu et travaillé en Europe et en Amériques. Ses thèmes principaux d’inspiration sont la colère, la folie, la solitude, l’injustice... la condition humaine. Sa peinture s’appuie sur des bases académiques solides, sur une culture très variée et sur un vécu où la Connaissance a toujours été un enjeu.
Dans Le choix de l’Artiste dont cet ouvrage est l’objet, nous trouvons un dénominateur commun à l’ensemble de son œuvre, des clés pour la découvrir et en même temps nous découvrir.
Jean-Claude Millet est né en 1946 à Marboz, un village de Bresse, en France. Il a toujours dessiné et peint, mais sa carrière s’est construite à partir d’une formation d’ingénieur. Son appétit pour la création s’est exprimé professionnellement dans l’innovation et la création d’entreprises. Pour ces objets complexes, une Esthétique globale (le Beau, le Bon, le Bien) est toujours passée avant la perspective de profits. En s’exprimant sur Le choix de l’Artiste, il rend hommage à la peintre pour sa contribution à sa propre quête : être partie prenante à l’avènement de l’homme en l’Homme.
Ce texte est le contre-don du don que lui a fait Dalva en lui cédant sa grande aquarelle.