Couleurs et Transcendance
Jean-Claude Millet est un artiste protéiforme, membre de l’Académie des Technologies, qui s’est exprimé dans des domaines aussi divers que la création de Sociétés anonymes ou d’associations loi de 1901 ; la production d’œuvres plastiques en peinture ou en sculpture ; l’écriture d’ouvrages littéraires en prose ou en vers. L’ensemble de ses œuvres ressort d’une discipline, la Science et l’Art du Bien et du Beau qu’il a théorisée et nommée « l’esthéthique ».
Dans ce livre, Jean-Claude Millet s’intéresse à la quête journalière du peintre Werner Reinisch de sublimer la couleur en vue de sa propre sublimation. En s’appuyant sur trois oeuvres majeures, il met en évidence le génie du peintre rapproché du génie de Goethe dont les œuvres éclairent des textes par l’image.
Il place les oeuvres et les parts d’humanité qu’elles révèlent dans le contexte de la société globalisée et déculturée dans laquelle nous vivons. Ce livre est un remerciement fait au peintre pour ce qu’il a abandonné de lui en cédant ces trois toiles ; car les échanges monétaires ne sont que la partie vulgaire de la circulation des œuvres d’Art. Les mots de reconnaissance de l’acquéreur devraient être une pratique courante car ils donnent une réalité au don reçu du peintre en le faisant circuler.
Comme dans les sociétés Maori, ces trois œuvres sont ainsi des « Taongas ». Ce livre représente leur « Hau », c’est à dire leur « Esprit ». Il fait donc Société et ouvre un chemin possible vers son titre : Couleurs et Transcendance.
Jean-Claude Millet est un artiste protéiforme, membre de l’Académie des Technologies, qui s’est exprimé dans des domaines aussi divers que la création de Sociétés anonymes ou d’associations loi de 1901 ; la production d’œuvres plastiques en peinture ou en sculpture ; l’écriture d’ouvrages littéraires en prose ou en vers. L’ensemble de ses œuvres ressort d’une discipline, la Science et l’Art du Bien et du Beau qu’il a théorisée et nommée « l’esthéthique ».
Dans ce livre, Jean-Claude Millet s’intéresse à la quête journalière du peintre Werner Reinisch de sublimer la couleur en vue de sa propre sublimation. En s’appuyant sur trois oeuvres majeures, il met en évidence le génie du peintre rapproché du génie de Goethe dont les œuvres éclairent des textes par l’image.
Il place les oeuvres et les parts d’humanité qu’elles révèlent dans le contexte de la société globalisée et déculturée dans laquelle nous vivons. Ce livre est un remerciement fait au peintre pour ce qu’il a abandonné de lui en cédant ces trois toiles ; car les échanges monétaires ne sont que la partie vulgaire de la circulation des œuvres d’Art. Les mots de reconnaissance de l’acquéreur devraient être une pratique courante car ils donnent une réalité au don reçu du peintre en le faisant circuler.
Comme dans les sociétés Maori, ces trois œuvres sont ainsi des « Taongas ». Ce livre représente leur « Hau », c’est à dire leur « Esprit ». Il fait donc Société et ouvre un chemin possible vers son titre : Couleurs et Transcendance.
Jean-Claude Millet est un artiste protéiforme, membre de l’Académie des Technologies, qui s’est exprimé dans des domaines aussi divers que la création de Sociétés anonymes ou d’associations loi de 1901 ; la production d’œuvres plastiques en peinture ou en sculpture ; l’écriture d’ouvrages littéraires en prose ou en vers. L’ensemble de ses œuvres ressort d’une discipline, la Science et l’Art du Bien et du Beau qu’il a théorisée et nommée « l’esthéthique ».
Dans ce livre, Jean-Claude Millet s’intéresse à la quête journalière du peintre Werner Reinisch de sublimer la couleur en vue de sa propre sublimation. En s’appuyant sur trois oeuvres majeures, il met en évidence le génie du peintre rapproché du génie de Goethe dont les œuvres éclairent des textes par l’image.
Il place les oeuvres et les parts d’humanité qu’elles révèlent dans le contexte de la société globalisée et déculturée dans laquelle nous vivons. Ce livre est un remerciement fait au peintre pour ce qu’il a abandonné de lui en cédant ces trois toiles ; car les échanges monétaires ne sont que la partie vulgaire de la circulation des œuvres d’Art. Les mots de reconnaissance de l’acquéreur devraient être une pratique courante car ils donnent une réalité au don reçu du peintre en le faisant circuler.
Comme dans les sociétés Maori, ces trois œuvres sont ainsi des « Taongas ». Ce livre représente leur « Hau », c’est à dire leur « Esprit ». Il fait donc Société et ouvre un chemin possible vers son titre : Couleurs et Transcendance.